Exceptionnellement humide (vert) ou sec (bleu) conditions pendant les pluies Belg du printemps (rangée du haut), et les pluies Kiremt de l’été (rangée du bas) en Ethiopie cette année
Beaucoup d’Éthiopiens compte sur des pluies consistantes et régulières pour cultiver les récoltes, nourrir leurs animaux, et maintenir leurs moyens de subsistance. Cette année, les pluies ont était retardés ou dépréciées pendant deux saisons consécutives dans certaines parties d’Ethiopie.
Les projets « BRACED » guidé par Farm Africa et Christian Aid fonctionnent dans certaines woredas et régions qui ont été gravement touchés par les déficits de pluie.
Dans ces régions, les gens ont utilisé plusieurs mécanismes d’adaptations différents pour soutenir leurs moyens de subsistance. Comme, migrer vers d’autres domaines avec des chameaux plus résistants à la sécheresse pour trouver du pâturage ; vendre du bois de chauffage ; et travailler de plus en plus dans des fermes commerciales. Certaines initiatives furent efficaces, tandis que d’autres stratégies d’adaptation, comme la plantation de cultures dans la région Afar, ont largement échouer a cause de la disponibilité réduite d’eau pour l’irrigation, et ont donc des implications négatives pour organiser a long-terme la capacité d’adaptation de la communauté.
Le Danger : La Sécheresse
L’Ethiopie est un pays géographiquement diversifié allant des plaines semi-arides, à de vastes régions montagneuses, de hauts plateaux et de basses plaines. Ceci veut dire que le climat et la saison des pluies peuvent varier largement en fonction du lieu.
Selon l’Agence Nationale de Météorologie Ethiopienne (NMA), le centre et le nord-est de la région ont vécu une très mauvaise première saison de pluies en 2015 (Belg, Février – Avril). Pendant la saison de pluies principal de 2015, Kiremt (Juin – Septembre), le total des pluies saisonnières fut beaucoup plus inférieur à la normale saisonnière. Il est probable que le peu de pluies pendant Kiremt furent en partie dues a la présence du phénomène météorologique « El Nino ».
La température est un autre facteur important. Pendant les sept premiers mois de l’année, les températures ont été constamment plus élevées que la normale en Ethiopie. Ceci fait partie d’une tendance de températures plus chaudes en Afrique. Les procès-verbaux de la réunion pour « l’Afar Pastoral Agriculture Taskforce » du 29 Juillet 2015 ont indique que, « dans les trois dernier mois, la région Afar a connu des températures de hautes pression, des tempête de poussière, la sècheresse et une forte évapotranspiration qui ont conduit a une mauvaise humidité du sol. » Ceci a eu un impact négatif sur la régénération des pâturages et la recharge des sources d’eau comme les rivières et les étangs.
Les mesures par satellite et le pluviomètre montrent que, en total, les sept premiers mois de 2015 ont été exceptionnellement secs dans le centre-nord du pays. Cette réduction de la pluviométrie totale a des conséquences sur la disponibilité des plantes et des herbes pour le bétail.
Les pâturages, les ressources pastorales, et la disponibilité de l’eau ont vu une diminution continue à un moment de l’année ou ils auraient normalement du augmenter. Ceci mène à des mauvaises conditions physiques du bétail et de très faible production et productivité du bétail.
De plus, ces pluies irrégulières ont contribuées à la diminution des rendements agricoles, la mort d’une partie du bétail et l’augmentation d’insécurité alimentaire. Selon UNOCHA, le 24 Aout 2015, un total de 4,5 millions de personnes en Ethiopie devraient avoir besoin d’aide cette année.
Bien sur, l’insécurité alimentaire et les autres facteurs sont compliqués, et les pluies tardives et irrégulières sont seulement un facteur parmi d’autres qui ont contribuées à l’augmentation des besoins d’assistance. Dans certaines régions, les pluies furent assez habituelles, et d’autres facteurs comme le manque d’accès aux marchés, et une forte vulnérabilité même a une petite diminution ou irrégularité de précipitations pourrai contribuer au besoin d’assistance.
L’importance du « Timing »
La précipitation hors du commun raconte seulement la moitié de l’histoire. Ceci masque les changement de précipitation qui peuvent ce passer d’un jour a l’autre ou d’une semaine a l’autre, et qui peuvent avoir des conséquences pour la culture de l’agriculture et la reconstitution de l’approvisionnement en eau. Certaines régions dans la partie centre-nord du pays produisent des cultures pendant la saison Belg (Fevrier – Avril), généralement attendant les premières pluies pour semer leurs graines.
Beaucoup de fermiers qui ont planté leurs graines en début de saison n’ont pas reçu assez de pluie pendant les deux mois suivants pour que leurs cultures poussent. D’autres ont attendu trop longtemps pour des pluies consistantes et stables, et ainsi ont planté trop tard ce qui a mené à de mauvaises récoltes. La région Afar sud, une zone pastorale, est restée beaucoup plus sèche que normal pendant trois mois consécutifs menant à fortement réduire les pâturages et la production de bétails.
La deuxième grande saison des pluies, Kiremt, fournie de la pluie pour les cultures dans l’ouest de l’Ethiopie, et pour les pâturages dans les régions centrales est à l’est du pays. En Juin, les pluies étaient tardives et moindre dans le nord-ouest, tandis que certaines régions du sud-ouest ont ressentie des conditions plus humides que normale.
Pour le centre-nord du pays les pluies devaient commencer en Juillet. Elles ne sont jamais arrivées, et en retour le climat fut très sec pendant des semaines. En fait, les premières estimations suggèrent que cela a était le mois de Juillet le plus sec au court des 30 dernières années ! Bien que certaines régions agricoles dans l’ouest ont reçues les pluies qu’elles nécessitées, la région Afar pastorale et le « Sitti Zone » furent parmi les plus durement touchées par le manque de pluies.
Heureusement, en Aout, les pluies sont enfin tombées dans la plus grande partie du pays. Bien que ces pluies furent les bienvenue, elles vinrent parfois sous la forme de tempêtes qui amenèrent trop de précipitations dans un temps trop court. D’autres endroits, dont la partie la plus au sud de la région Afar et ses régions avoisinantes, sont restées sèches pendant un mois supplémentaire.
L’histoire de la saison des pluies est incroyablement complexe, et la relation que les gens entretiennent avec la pluie varie d’un endroit à l’autre, ce qui complique encore la situation. Simplement déclarer qu’il y’a la sécheresse en Ethiopie obscurcit le fait que, tandis que certaines personnes souffrent dans le pays, l’Ethiopie c’est énormément développée dans les deux dernières décennies pour améliorer la résilience aux catastrophe naturelles, et par conséquent la majorité des gens vivent mieux.
Dans la prochaine partie de cette série, nous allons approfondir comment les gens se débrouillent en Ethiopie pendant la sécheresse, et quelles initiatives de résilience marche le mieux pour réduire les impacts.
Ceci est la première partie d’une série, pour le « Reality of Resilience » projet, qui étudie la sécheresse de 2015 en Ethiopie. Restez à l’écoute pour la deuxième partie la semaine prochaine détaillant comment les gens s’en sortent, et comment les projets « BRACED » réagissent.
Les constatations et les conclusions détaillées dans ce blog sont celles de(s) l’auteur(s) et ne reflètent pas nécessairement les vues du Red Cross Red Crescent Climate Centre, le IFRC ou de ses Sociétés Nationales. Le blog et n’importe quel lien qu’il peut contenir sont ajoutés pour encourager des discussions et réflexions sur les conséquences humanitaires du changement ou variabilité climatique.
A l'Evenement d'Apprentissage Annuel en Ouganda, nous avons posé une question aux participants: qu'est ce que la résilience?
Une préoccupation concerne la viabilité à long terme de gains de développement durement acquis
Les enfants travaillent d'arrache-pied pour cultiver des aliments nutritifs dans le jardin de leur école, améliorant ainsi la santé de la communauté
Les petits exploitants peuvent apprendre à utiliser plus efficacement les intrants et les ressources environnementales pour devenir des agriculteurs intelligents face au climat
New projects in Kenya show that we can test bold solutions to financing for farmers whose livelihood climate change puts at risk
We welcome comments that advance the story through relevant opinion, anecdotes, links and data. If you see a comment that you believe is irrelevant or inappropriate, you can flag it to our editors by using the report abuse links. Views expressed in the comments do not represent those of Braced or its partners.